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Verdun est une commune française, située dans le département de la Meuse et la région Lorraine. Ses habitants sont appelés les Verdunois. Elle fut le théâtre de l'une des plus sanglantes batailles de la Première Guerre mondiale. En dialecte, la ville se nommait Vardun.
Le vieux mot
gaulois dunos, château, forteresse, a laissé sa trace dans le nom de beaucoup de villes françaises même lorsque ceux-ci ont été
Latinisés par les
Romains. Le plus souvent, il est associé au nom d’un chef gaulois comme à Verdun justement mais aussi à
Meudon ou
Loudun. Ou encore au nom de dieu gaulois le plus vénéré
Lug comme c'est le cas à Laon et à
Lyon dont les deux noms dérivent de
Lugduno. À
Châteaudun, on remarque que le nom de la ville dit donc deux fois la même chose la première fois en latin et la seconde en
gaulois/
celtique.
Verdun est traversée par la
Meuse, qui est canalisée lors de sa traversée de la ville. On dit aussi
Verdun-sur-Meuse, qui était son nom officiel jusqu'en
1970.
Bien qu'elle ne compte que 20 000 habitants environ (données de 1999), c'est la ville la plus peuplée de son département.
Les principales villes voisines, dans l'arrondissement de Verdun, sont Étain, Montmédy et Stenay.
L'histoire de Verdun plonge ses racines dans l’âge de la pierre taillée (
Paléolithique : la présence humaine dans la région date de 300 000 à 400 000 ans).
À l’époque celtique, cette région de la Gaule était occupée par le puissant peuple des Médiomatrices. De sa situation sur un éperon rocheux dominant le Fleuve, provient le nom celtique de Verdun signifiant la forteresse (dunum) qui surveille le passage sur une rivière (vir). Oppidum celte puis castrum romain, après l’invasion des Gaules, Verdun est évangélisée au IVe siècle.
Le quartier actuel de la ville-haute de Verdun, autour de la Cathédrale, fut jadis occupé par un poste militaire gaulois qui prit le nom de Virodunum. Plus tard les romains en firent un castrum.
La haute antiquité de Virodunum et son importance militaire s’expliquent par sa situation topographique : il se trouvait au point de croisement de la grande voie reliant Metz à Reims, et de la route qui suivait la vallée de la Meuse. Le passage de la rivière y était particulièrement facile : la Meuse, venant du sud, se heurte au mouvement de terrain qui se termine à l’est par le castrum romain ; elle est ainsi amenée à décrire une courbe assez prononcée vers la droite et à calmer la rapidité de son cours. Elle se divise en plusieurs branches qui étaient jadis guéables en beaucoup de points. De bonne heure, il fallut surveiller et défendre ces gués qui constituaient des passages tout indiqués. Or, aucune position n’était plus favorable à cette défense que la croupe que contourne la Meuse. Le castrum romain était protégé au sud, à l’est, au nord par des escarpements de rochers, puis, plus avant, par une ligne d’eau continue : la Meuse et, au nord la Scance. Le plateau n’était abordable que par un isthme étroit, du coté de l’ouest. Cet accès difficile en a fait un bastion naturel, que les hommes ont ensuite fortifié de plus en plus puissamment au cours des siècles.
Les onze sièges que la ville a subis sont la preuve de l’intérêt attaché à sa possession, et son nom retentit à chaque grande époque de l'histoire.
Au début du IVe siècle, Saint-Saintin vint évangéliser les païens de Virodunum. Il fit construire en dehors et à l’ouest du castrum, sur l’emplacement d’un ancien temple païen, une modeste église qui fut remplacée plus tard, en 952, par l’abbaye de Saint-Vanne, à l’emplacement de la citadelle actuelle.
En 450, les Huns d’Attila ravagèrent Verdun. Clovis assiégea et prit la ville en 485. Elle eut ensuite à souffrir des invasions des Normands et des Hongrois : les premiers y arrivaient en remontant la Meuse, les seconds venaient d’Alsace par Metz.
À l'époque carolingienne, Verdun est un important marché aux esclaves où viennent s'approvisonner les marchands occidentaux, juifs et musulmans.
Le Traité de Verdun en 843 est considéré par les historiens comme l'un des plus importants de l'histoire européenne. En effet, il consacre la partition de l'empire de Charlemagne, en trois unités distinctes qui donnent naissance à l'ouest à la future France et à l'est à la future Allemagne. La Lotharingie, large bande de terre située au centre, qui relie la Mer du Nord à la Méditerranée, connaît une rapide décomposition en plusieurs territoires : la question de la frontière entre France et Allemagne est posée pour onze siècles.
Louis le Pieux (ou le Débonnaire) succède à Charlemagne, son père, en 814. Il ne parvient pas à maintenir l'unité du vaste Empire, que trois de ses fils se disputent déjà de son vivant. À sa mort, en 840, Lothaire l'aîné revendique la succession sans partage, mais ses deux frères Charles le Chauve et Louis le Germanique réclament une part de l'héritage et font alliance . En 841 à la Bataille de Fontenoy (à côté d'Auxerre), les deux frères remportent une victoire décisive sur l'armée de Lothaire. Et en 842, par le serment de Strasbourg, ils scellent leur union et obligent Lothaire à négocier le partage de l'empire.
Les contours de ce partage sont dessinés à Verdun en 843. Charles se voit attribuer la Francie occidentale (France) et Louis la Francie orientale (Germanie). Lothaire obtient la Francie médiane (Lotharingie d'où la Lorraine tire son nom).
En 888, un incendie détruit la Cathédrale de la ville.
Après le célèbre traité de Verdun (843) qui divisa l’empire de Charlemagne, la ville fit partie du royaume de Lothaire ou Lotharingie. Après la dislocation de cet état éphémère (923, les rois de France et de Germanie s’en disputèrent la possession. La Lotharingie devint finalement allemande sous l’empereur Othon Ier et fut divisée en deux duchés, celui de Basse-Lorraine (Belgique actuelle) et celui de Haute-Lorraine (Lorraine actuelle). Pendant un siècle et demi, Verdun fit partie de la Basse-Lorraine qui appartenait aux seigneurs de la Maison d’Ardenne. Cette période fut très mouvementée : les derniers rois carolingiens français revendiquaient la Lorraine. Lothaire, roi de France, vint mettre le siège devant Verdun deux fois dans la même année (984). Il prit la ville, la perdit, la reprit mais ne put empêcher qu’elle retourna bientôt à l’empire germanique. Un peu plus tard, l’empereur Othon II donna aux évêques de Verdun le titre d’évêques-comtes, en les nommant princes temporels du Saint-Empire. Mais ceux-ci furent amenés à se faire suppléer, pour l’administration civile et la protection de l’évêché, par des comtes voués héréditaires. Les premiers voués appartinrent à la puissante famille d’Ardenne qui possédait le comté avant qu’il fût épiscopal et que les évêques, trop faibles, n’osèrent évincer. Les comtes et les évêques ne vécurent pas toujours en bonne intelligence : ainsi Godefroy le Bossu, l’un de ces seigneurs, prit Verdun et incendia la cathédrale et l’évêché (1043). Le dernier comte, neveu du précédent, abandonna ses droits en partant pour la Croisade : c’était Godefroy de Bouillon, qui devint roi de Jérusalem.
Bas Moyen-Âge
De
936 à
1089, Verdun connaît l’une des plus brillantes périodes de sa longue histoire. Les
empereurs, les évêques, les
comtes, les
moines et les
marchands contribuent à son développement. Si les X
e et XI
e siècles sont connus pour être ceux de l’apogée de Verdun, dans la foulée le
XIIe siècle est celui d’un sommet artistique et d’un grand homme :
Nicolas de Verdun, sans doute le plus grand
orfèvre du Moyen Âge.
Les évêques de Verdun, à l’époque, viennent tous de l’entourage impérial. D’ailleurs, il est d’usage de parler « d’Eglise impériale ». Ainsi, par exemple, Haimon fait-il bâtir bien des édifices religieux qui connaîtront une belle notoriété et favoriseront le rayonnement de Verdun. Cet évêque reçoit même au début du XIe siècle le droit de nommer le comte de Verdun, ainsi que le droit de frapper la Monnaie.
Après la dislocation de l’empire carolingien qui fait de Verdun une zone stratégique (Verdun, somme toute, de tout temps s’appréhende comme une zone stratégique), les comtes de Verdun sont de « grands seigneurs laïcs inconstants, toujours ambitieux, mais pieux et magnifiques » comme le souligne un éminent historien. Parmi ceux-ci, citons Godefroy II le Barbu qui combattit Verdun, brûla même dans sa colère la cathédrale, avant de devenir un authentique bienfaiteur et de voir fils et neveu lui succéder.
Les moines aussi signent des épopées verdunoises en matière de réforme religieuse et d’exemple spirituel. Parmi eux, Richard de Saint Vanne qui maîtrise la Place de Haute Pensée sur une vingtaine d’abbayes pendant près d’un demi-siècle (1005 - 1046) a l’appui des empereurs, des rois de France et des comtes de Flandres. Nous possédons de lui plusieurs manuscrits remarquables.
De nombreux et dynamiques marchands, animateurs permanents d’un commerce international, parcourent l’Europe et font de Verdun un riche Marché de tissus, d’armes, d’épices, d’Ivoire, de fourrures, et même d’esclaves. Retenons que Verdun, ville libre du Saint Empire romain germanique, centre religieux et artistique, est un lieu manifeste d’incessante vie économique et stratégique. Verdun au coeur du monde, pourrait-on dire sans craindre d’exagérer. Ponts, fortifications, abbayes, monastères, cathédrale en perpétuelle construction, Verdun s’impose comme une ville toujours en mouvement.
Le XII° siècle vit éclore le mouvement communal. Les bourgeois de Verdun voulurent se soustraire à l'autorité de l'évêque. Ils obtinrent de l'empereur Henri IV une charte d'après laquelle la cité, devenue libre, relevait directement de l'empire (1195). Ce fut alors la lutte entre l'évêque et les bourgeois.
Au XII° siècle, les comtes de Bar prétendirent dominer l'évêché de Verdun et en avoir l'avouerie. Vers 1119, Renaud le Borgne, comte de Bar, éleva une énorme tour entre la porte Châtel et l'abbaye de Saint-Vanne. De cette tour, ses gens terrorisaient la ville et ses abords. Evêque et bourgeois s'unirent contre Renaud. La tour fut prise en 1134, puis détruite. L'avouerie fut retirée à la Maison de Bar.
Mais, au cours des siècles suivants, les comtes de Bar restèrent pour Verdun des voisins dangereux, ainsi d'ailleurs que les comtes de Luxembourg. Les seigneurs de ces deux Maisons, tantôt ennemis, tantôt alliés, s'unirent parfois pour opprimer de concert l'évêché de Verdun.
Pour se défendre contre la rapacité de leurs voisins, les évêques qui, jusqu'alors, s'appuyaient surtout sur l'empire, furent amenés à solliciter la protection des rois de France plus rapprochés. Ceux-ci, se rendant compte de la situation importante de Verdun, répondirent à cet appel. A partir de 1315, date à laquelle Louis X le Hutin y mit la première "Garde Française", l'influence de la France fit des progrès incessants. Charles VII, Charles VIII, Louis XII prirent successivement Verdun sous leur rotection. Cette politique préparait son rattachement complet à la France.
Dans sa lutte contre l'empire, Henri II s'appuya sur les princes protestants allemands et ceux-ci, pour payer l'alliance française, permirent au roi d'occuper les Trois Evêchés: Met, Toul et Verdun, ce qui se fit sans difficulté.
Temps modernes
À partir de
1552, débute un processus de rattachement à la
France. Verdun forme, avec
Metz et
Toul, les
Trois-Évêchés. Le
12 juin 1552,
Henri II, roi de France, entre dans Verdun qui n'oppose pas de résistance. Depuis
925, la ville faisait partie du Saint Empire romain germanique. Arrivé de
Damvillers, où se trouve cantonnée son armée, le roi de France ne reste que quelques heures dans la cité épiscopale mais laisse en demeure une garnison de trois cents hommes sous le commandement du maréchal Tavannes. Charles-Quint s'efforça de reprendre les Trois évêchés. En 1554, il assiégea Verdun et s'en empara, mais il fut bientôt obligé de rendre la place à Henri II; un peu plus tard, il échouait complètement devant Metz, glorieusement défendu par le duc de Guise.
Ainsi, Verdun devint français de fait en 1552.
Verdun, pendant quelque temps, conserva en partie son autonomie. L'évêque Nicolas Psaulme fut réintégré dans les pouvoirs temporels de ses prédécesseurs et se montra administrateur éclairé. Grâce à cet illustre prélat, dont le souvenir est encore si vivace, Verdun, à part la tentative de surprise des Huguenots en 1562, vécut dans la tranquilité et la prospérité. C'est le début d'un processus qui conduit au rattachement définitif de Verdun à la France, entériné en 1648 par le traité de Westphalie.
De la Révolution à l’époque actuelle
Fortifiée par Vauban, elle est prise en
1792, puis lors de la guerre franco-allemande de 1870. La ville fut alors l'enjeu de nombreuses batailles. L'armée allemande barra en effet la route qui la reliait à
Metz, rendant impossible la retraite de l'
Armée du Rhin sur Châlons-sur-Marne.
En 1916, la Bataille de Verdun fut l'une des principales batailles de la Première Guerre mondiale, au cours de laquelle la ville résista à tous les assauts. Suite à cet évènement, la ville de Verdun fut citée à l'ordre national de la Légion d'honneur par le décret du 12 septembre 1916.
Il est à noter que Verdun est actuellement, avec 26 médailles, la ville la plus décorée de France.
- Constructions mécaniques et électriques ;
- Textile ;
- Chimie ;
- Confiserie : principalement les dragées Braquier dont l'usine est ouverte au public ;
- Antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de la Meuse.
Verdun a constitué une communauté de communes avec quelques communes voisines. Les cinq membres de cette communauté sont :
Béthelainville,
Haudainville,
Sivry-la-Perche,
Thierville-sur-Meuse et Verdun.
Verdun est chef-lieu de trois cantons :
Liste des maires successifs |
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|
1793 | 1794 | Pierre-Charles Lespine | - | - |
1800 | 1808 | François Huguin | - | - |
1808 | 1821 | Louis Gand | - | - |
1821 | 1830 | Desgodins | - | - |
1830 | 1832 | Jean Nicolas Antoine | - | - |
1834 | 1837 | Jean Baptiste Mareschal | - | - |
1848 | - | Clement Bertrand | - | - |
1852 | 1856 | Nicolas Ambroise Cartier | - | - |
1860 | 1876 | Charles Louis Benoit | - | - |
1876 | 1878 | Nicolas Armand Buvignier | - | - |
1879 | 1881 | Louis Maury | - | - |
1884 | 1904 | Louis Maury | - | - |
1905 | - | Leonce Rousset | - | - |
1906 | - | Victor Pequart | - | - |
1908 | - | Prosper Regnault | - | - |
1919 | 1925 | Edmond Robin | - | - |
1925 | 1933 | Victor Schleiter | - | - |
1933 | 1935 | René Panau | - | - |
1935 | 1940 | Gaston Thiébaut | Radical | Député |
1947 | 1953 | Hyppolyte Thevenon | - | - |
1953 | 1965 | François Schleiter | CNIP | Sénateur |
1965 | 1977 | André Beauguitte | FNRI | Député |
1977 | 1983 | René Vigneron | PS | Conseiller général |
1983 | 1989 | Jacques Barat-Dupont | UDF | - |
1989 | 1995 | Jean-Louis Dumont | PS | Député |
1995 | 2008 | Arsène Lux | RPF | Conseiller général de la Meuse |
Personnages célèbres
- Désiré de Verdun (480-554) 9e évêque de Verdun (529-554), saint catholique ;
- Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil (1674 - 1754), comte et évêque de Verdun ;
- Jean-Nicolas de Parival (1605-1669), mémorialiste français émigré aux Provinces-Unies
- François de Chevert (1695-1769), général français ;
- Lucien Lantier, né à Odessa (Ukraine) en 1879 et décédé en 1960, artiste peintre ;
- Danielle Mitterrand, née en 1924, épouse du président français François Mitterrand ;
- Isabelle Nanty, née en 1962, actrice française ;
- Claude Petit Jean, Musicien, Compositeur (fl. 1562-1592) ;
- Gustave Pierre, artiste peintre ;
- René Valet (1890-1912), anarchiste illégaliste, membre de la bande à Bonnot ;
- David Terrier, footballeur ayant joué dans plusieurs grands clubs, né en 1973.
Monuments et lieux touristiques
Monuments commémorant la
Bataille de Verdun :
- la citadelle souterraine ;
- le Centre mondial de la paix (ancien palais épiscopal) ;
- le monument de la victoire.
Autres centres d'intérêt :
- la Tour Chaussée ;
- le musée de la Princerie (archéologie, sculptures du Moyen Âge, faïences locales et étrangères) ;
- la Cathédrale Notre-Dame.
Dans la région :
- les forts de Vaux et Douaumont ;
- l'ossuaire de Douaumont et le cimetière national ;
- le Mémorial de Verdun et le village de Fleury (l'un des neuf villages détruits qui conservent une existence administrative) ;
- la Tranché des Baïonnettes ;
- Montfaucon.
Vie militaire
Listes des unités militaires ayant tenu garnison à Verdun :
- État-Major de la 6e Brigade de Chars de Combat, 1939 -1940
- 150e Régiment d'Infanterie, 1939 - 1940
- 151e Régiment d'Infanterie, 1888 - 25 mai 1997 (Dissolution)
- 162e Régiment d'Infanterie, (avant) 1906 - 1914 (jusqu'à ?)
- 164e Régiment d'Infanterie, 15 avril 1913 (Création) - 1914
- 165e Régiment d'Infanterie, 15 avril 1913 (Création) - 1914
- 166e Régiment d'Infanterie, 15 avril 1913 (Création) - 1914
- 6e Régiment de Tirailleurs Marocains, 1939 - 1940
- 19e Bataillon de Chasseurs à Pied, (?) 1853 - 1918
- 2e Régiment de Chasseurs à Cheval, 1967 - 1998
- 6e Régiment de Cuirassiers, 1939 - 1940
- 4e Régiment de Dragons Portés, 1939 - 1940
- 3e Régiment de Hussards, 1906
- 4e Régiment de Hussards, 1914
- 8e Régiment de Hussards, 1906
- 511e Régiment de Chars de Combats, 1939 - 1940
- 9e Bataillon de Chars de Combats
- 37e Bataillon de Chars de Combats
- 51e Bataillon de Chars de Combats
- 40e Régiment d'Artillerie, 1906
- 4e Régiment d'Artillerie à Pied, 1906
- 5e Régiment d'Artillerie à Pied, (avant) 1906 - 1914
- 1re et 9e Batteries du 61e Régiment d'Artillerie de Campagne, 1906
- 74e Régiment d'Artillerie Tractée Tout-Terrain, 1939 - 1940
- 40e Régiment d'Artillerie Nord-Africain, 1939 - 1940
- 9e Régiment de Sapeurs-Mineurs, 1914
- 6e Bataillon du Génie, 1906
Verdun n'est jumelée à aucune autre ville, décision prise par le conseil municipal au lendemain de la première guerre mondiale, afin de ne pas créer de discriminations entre les nombreuses villes candidates à un jumelage. La tradition a depuis été respectée.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Sources bibliographiques
- Alain Girardot et al. Histoire de Verdun, , 205 pages, Éditions Serpenoise, Metz, 1997 ISBN 2-87692-263-0
- Les fortifications de la place de Verdun - 1874-1918, collection Itinéraires du patrimoine, 18 pages, Éditions Serpenoise, Metz, 1998, ISBN 2-87692-305-X
- Guy Le Hallé, Verdun ma ville, 192 pages, Martelle Editions, Amiens, 1992, ISBN 2-87890-018-9
- Annette Wieviorka et Serge Barcellini, Passant, souviens-toi : les lieux du souvenir de la Seconde Guerre mondiale en France, Graphein - 8 janvier 1999
- Stéphane Audoin-Rouzeau & Jean-Jacques Becker (Dir.), Encyclopédie de la Grande Guerre, 1914-1918 : histoire et culture, Bayard - Septembre 2004
- François cochet (Dir.), 1916-2006 Verdun sous le regard du monde, 14-18 Editions - Juin 2006
- François Cochet (Dir.), Les batailles de la Marne : de l'Ourcq à Verdun (1914 et 1918), 14-18 Editions - Septembre 2004
- Jean-Luc Pamart, Le paysan des poilus, Editions de la Loupe - Juin 2005
Notes